« Dieu est mort », titre aujourd’hui L’Équipe, journal pourtant peu réputé pour ses scoops métaphysiques ou ses penchants nietzschéens. C’est que, figurez-vous, Dieu était footballeur. Il s’était incarné en Argentine et faisait des miracles à l’intérieur d’un rectangle de gazon. Contrairement à son homonyme à l’existence invérifiable, la sienne était avérée, et ses miracles aussitôt reconnus universellement. Nul besoin d’enquête du Saint-Siège ou de campagne de béatification. C’est que Dieu était …