O.P. : Que cherchiez-vous en réalisant Black Swan ? D.A. : Je voulais rendre captivant, pour des enfants du XXIe siècle, un ballet, le Lac des cygnes de Tchaïkovski, dont la forme n’a pas bougé depuis le XIXe siècle. Ce défi, j’ai essayé de le relever en concevant un film qui joue sur les effets de montage. J’ai employé la caméra à l’épaule afin d’être plus proche des comédiens, de gagner en vitesse et en liberté, de jouer avec…